FAQ

Foire aux Questions


263 000 / an

Il y a environ 250 000 incendies domestiques qui sont officiellement déclarés chaque année aux assurances  (soit 2 fois plus en 20 ans)

Un incendie domestique sur 4 est du à une installation électrique défectueuse. L’hiver quand les chauffages fonctionnent et qu’on se calfeutre chez soi, que l’on fait du feu, qu’on allume des bougies, …deux dangers guettent : les incendies et le monoxyde de carbone.  La température d’une pièce en feu atteint 600°C en 3 minutes. 

Sur 27 millions de logements existants (dont 16 M. construits avant 1974), 7 millions sont à risques (300 000 le deviennent chaque année) et 2,3 millions sont équipés d’installations très dangereuses. Conséquence :  30% des 250 000 incendies domestiques répertoriés chaque année sont d’origine électrique. Les incendies domestiques sont la cause de 800 décès et 10 000 victimes chaque année.   Alors que 7 incendies sur 10 ont lieu le jour, 7 incendies  domestiques mortels sur 10 se déroulent la nuit : le plus grand danger est celui d’asphyxie, les personnes étant surprises dans leur sommeil.

1 Français sur 3est victime d’un incendie au cours de sa vie.

(source : L’Observatoire national de la sécurité électrique – ONSE)

Dans l’idéal, il faudra effectuer un contrôle de votre motorisation tous les six mois. Lors de ce contrôle il faudra particulièrement surveiller la présence d’humidité ou d’insectes dans la centrale de commande. Si vous constatez la présence de l’un ou de l’autre, utilisez des sachets anti-humidité ou une bombe insecticide en spray et pensez à retirer les insectes morts ou vivants présents dans l’appareil.
Observez également attentivement le fonctionnement du portail pour veiller à ce que tout fonctionne sans entrave (éclairage, photo-cellules, charnières, pivots, …). Enfin, il faut également contrôler la chaîne de transmission du mouvement qu’il faudra huiler avec une huile spécifique pour vérins si nécessaire.

L’entretien des portails automatiques doit être effectué selon les dispositions du plan d’entretien. L’entretien est à la charge du propriétaire qui est responsable de tout accident et de tout dommage en cas de mauvais entretien ou d’entretien non effectué.

Il est possible, avec la large gamme d’automatisme que nous disposons, d’automatiser tout type d’ouvrant. Que ce soit des nouveaux portails comme des portails déjà existants, aussi bien coulissants ou auto-portant que battants, avec l’aide de nos technico-commerciaux avisés trouvez la solution adaptée à vos exigences et vos besoins.

Avantage le plus flagrant, l’aspect pratique. En effet, il n’y a rien de plus pénible que de devoir descendre de la voiture pour ouvrir et refermer le portail de la maison manuellement, surtout quand il pleut, mais aussi par vent, et surtout durant l’hiver. Voilà pourquoi vous propose une vaste gamme de motoréducteurs adaptés à tout types d’ouvrant pour satisfaire vos exigences et vous faciliter la vie. Alliez l’utile à l’agréable !

 

Pour pouvoir installer un moteur de portail, il faut savoir la largeur du passage et le poids du portail, contrôler les modalités d’application et l’utilisation prévue de l’automatisme. Le choix du moteur le plus approprié est indispensable pour assurer une plus longue durée de vie sans problèmes à l’installation. En temps qu’installateurs spécialisés, nous avons à votre disposition une large gamme d’automatismes adaptée à vos besoins et à tout type d’ouvrant.

 

FEU DE CLASSQuelles sont les différentes classes de feu ? E A

Ce sont en général des feux produits par des matériaux dits « solides » ou « secs » et « braisants »: Bois, papier, tissus, certains plastiques, fourrage, coton, cellulose, etc.…Ces matériaux brûlent en formant des braises qui peuvent ré-enflammer la matière même si elle paraît éteinte. Ce sont des matériaux particulièrement inflammables.
Leur combustion est :

  • vive (avec flammes) ;
  • ou lente (sans flamme visible, mais avec formation de braises incandescentes).
    La phase de combustion lente peut être relativement longue avant que n’apparaissent les premières flammes, notamment lorsqu’il y a un manque de comburant. Il s’agit dans ce cas de feux « couvants ».

Quelles sont les différentes classes de feu ?

FEU DE CLASSE B

Feux de liquides ou de solides liquéfiables, ou « feux gras » : Essence, hydrocarbures,  goudron, brai, graisses, huiles, peintures, vernis, alcools, cétones, solvants et produits chimiques divers, solvants, paraffine, etc. D’une façon générale : Ce qui brûle sans faire de braise. Les feux d’origine électriques sont classés dans cette catégorie.
Ils flambent ou s’éteignent, mais ne couvent pas. Il n’y a donc pas de combustion lente et l’abattage des flammes provoque directement l’extinction. Leur capacité à s’enflammer dépend du point d’éclair propre à chaque produit (température minimale à laquelle il émet suffisamment de vapeurs pour former avec l’air ambiant une atmosphère inflammable). En revanche, il peut y avoir rallumage brutal tant que la température avoisine celle de « l’auto-inflammation » (température à laquelle un mélange gazeux combustible peut s’enflammer spontanément sans la présence de flamme ou d’étincelle). C’est pourquoi, l’extinction complète ne peut être obtenue qu’après une phase de refroidissement.Leur combustion provoque un dégagement de gaz toxiques et/ou corrosifs (chlore, cyanure, monoxyde de carbone, etc.) particulièrement dangereux pour l’environnement et souvent explosif à leur tour. Lors de ce type d’incendie les pompiers s’assurent d’une ventilation efficace. De plus, des réactions chimiques imprévisibles peuvent se produire au contact de l’eau, de la fumée, des gaz chauds ou d’autres produits.

    • Les liquides inflammables miscibles à l’eau (alcool, acides, etc.)
      Un feu de faible étendue peut être éteint par les pompiers à l’aide d’une lance en jet diffusé. Pour les feux plus importants, le CO2 et la poudre sont les meilleurs agents d’extinction.
    • Les liquides inflammables non miscibles à l’eau (essence, huiles, éthers, pétrole, etc.)
      Il est en général impossible de les éteindre avec de l’eau. Les liquides en feu surnageant l’eau risquent de porter le feu dans le voisinage ou dans les égouts. Les deux agents extincteurs les plus efficaces sont la poudre pour les feux de faible importance et la mousse pour les nappes de grande superficie.
    • Les solides liquéfiables (plastiques, caoutchoucs, goudron etc.)
      Ces feux dégagent une grande énergie thermique et beaucoup de fumées. Ils sont généralement éteints avec de l’eau ou de la mousse.
Quelles sont les différentes classes de feu ?

FEU DE CLASSE C

Feux de gaz tels que acétylène, gaz naturel, gaz de pétrole liquéfiés comme le butane ou le propane, ou d’autres produits à l’état gazeux comme des produits chimiques, etc. Leur mise à feu s’accompagne généralement d’une explosion, d’autant plus violente que le mélange air-gaz s’effectue dans des proportions optimales entre les limites inférieure et supérieure d’explosibilité.
Ces feux se présentent sous forme de fuite enflammée, plus ou moins importante en fonction de la pression de stockage ou de transport, ainsi que du diamètre de la fuite. Il ne faut pas chercher à éteindre la fuite. L’accumulation du gaz continuant à s’échapper peut provoquer une explosion. L’extinction se fait en barrant la conduite. En cas de nécessité absolue, l’extinction de la fuite s’effectue avec de la poudre.
Quelles sont les différentes classes de feu ?

FEU DE CLASSE D

Cette classe correspond aux feux de métaux et ne se rencontre pratiquement que dans l’industrie : Magnésium, sodium,  potassium ou encore le phosphore blanc, etc. Il peuvent  également être provoqués par l’embrasement de copeaux ou de poussière de fer. Ils s’enflamment spontanément en présence de l’air, voire exploser. D’autres ne peuvent le faire que lorsqu’ils sont à l’état de poudre ou de copeaux (aluminium par exemple). Ces feux imposent l’utilisation d’extincteurs très spécifiques, tout autre type d’extincteur pouvant avoir un effet inverse au résultat escompté.  Les poudres D sont spécifiques à chaque type de combustible et se trouvent principalement dans des environnements industriels très particuliers. Leur combustion est généralement violente et très luminescente. Au contact de l’eau ces métaux en feu réagissent violemment en provoquant un dégagement d’hydrogène qui crée un risque d’explosion.

FEU D’EQUIPEMENTS ELECTRONIQUES ( classe C système américain, ex classe E)

Jusqu’à il y a quelques années, il existait une classe E qui désignait les « feux d’origine électrique » provenant d’équipements électriques sous tension (cette classification existe toujours dans le système américain sous la classe C). Celle-ci servait à attirer l’attention sur le danger et l’approche différente qu’implique l’électricité. Leur extinction est plutôt réservée aux spécialistes à cause du danger d’électrocution : l’eau pure est à proscrire. Le CO2 est très efficace contre les feux des moteurs électriques, relais, transformateurs, postes techniques, etc. La poudre est également efficace mais déconseillé sur un tableau électrique. On peut aussi utiliser l’eau pulvérisée qui est utilisable en présence de courant d’une tension inférieure à 1 000 Volt, car l’eau est pulvérisée en gouttelettes, et le jet ne sont pas conducteur d’électricité. Attention néanmoins à l’eau de ruissellement qui, elle, est conductrice et risque de mouiller le sol. Si l’extincteur est défectueux, la pulvérisation peut ne pas être réalisée correctement et induire un risque mortel.

Quelles sont les différentes classes de feu ? FEU DE CLASSE F

Feux d’huiles ou graisses servant d’auxiliaires de cuisson.  En effet, bien que ces feux soient à proprement parler de classe B, la présence généralement d’appareils sous tension dans le voisinage du feu et le besoin d’agents extincteurs compatibles avec la chaîne alimentaire ont nécessité la création de nouveaux extincteurs plus adaptés. Ceux-ci contiennent des agents chimiques secs (par ex. acétate d’ammonium) qui ont le même effet que la mousse : ils étouffent le feu par la création d’un film (par saponification) à la surface du liquide. De plus, cette classe fait porter l’attention sur le risque important d’explosion par vaporisation (en anglais : boil over) liée à l’utilisation d’eau sur ces feux.
Cette classe, récente et peu connue, est encore très peu représentée dans le monde de l’extincteur.

Le triange du feu
Trois éléments combinés peuvent provoquer une combustion  :

Combustible : bois, papier, carton, chiffon, essence, huile…
Comburant : oxygène de l’air
Énergie d’activation : flamme, frottement, électricité, température

Pour être commercialisé à l’intérieur de l’espace européen, certaines familles de produits doivent obligatoirement répondre à la norme CE. Cette obligation s’applique aux alarmes de maison.

cePour bénéficier du marquage CE les systèmes d’alarme distribués en Europe doivent subir des contrôles et essais qui assurent leur conformité à des exigences qualitatives essentielles définies au sein de directives communautaires dites « Nouvelle Approche ». Le marquage CE indique que les produits d’alarme concernés respectent différentes conditions en termes de sécurité, de santé publique, d’environnement et de protection des consommateurs. Ce marquage confère alors un droit de libre circulation sur l’ensemble du territoire de l’Union Européenne. Le marquage « CE » est donc une attestation de conformité obligatoire.

Le marquage CE ne doit pas être confondu avec la certification NFa2p qui est une démarche volontaire par laquelle un organisme indépendant et agréé est sollicité pour certifier qu’un système d’alarme répond à un cahier des charges particulièrement strict appelé référentiel. Le matériel d’alarme certifié NFa2p passe une batterie de tests exigeants, attestant d’une qualité supérieure en matière de protection électronique. La certification alarme NFa2p permet au fabricant qui l’obtient de se démarquer de ses concurrents en garantissant un très haut niveau de qualité et de fiabilité aux clients,  aux installateurs, aux professionnels de la sécurité mais aussi aux assurances.